Deux journées intenses et belles.
Montage des textes des témoignages en cinq parties distinctes.
Prise de son et bruitages avec le matériel du bord : verre brisé, boules de pétanques, scotch, sac plastique, boîte à musique, gaz, portes métalliques, bouches, respirations.... Le résultat, travaillé par Alex, notre ingénieur du son, est surprenant et correspond à l'ambiance sonore qui doit habiller le spectacle. Reste à ciseler, peaufiner et continuer d'inventer, de chercher. Comme dit Eléonore, le spectacle commence à apparaitre, et plus seulement le spectacle rêvé, imaginé, où tout est encore possible. Désormais, Usine/Roman, à l'état embryonnaire, existe.
Pendant ce temps, Lidwine, dans le salon, n'a pas quitté ou presque son ordinateur et le montage des films. Là aussi, ce qui se dessine est fort. Au point qu'il s'avère impossible de superposer, comme nous le pensions, la bande-son des témoignages aux images. Leur puissance respectives se nuiraient l'une à l'autre.
C'est bien ça, continuer à chercher...